mardi 9 mai 2017

Où est passé Post-Générique?




Cinéma...tchi-tchaaa.

Important: Tous les films décrits dans l'article sont visibles dans l'image ci-contre, je vous laisse ainsi le soin de les lier aux allusions faites plus bas.




Mais oui … où était donc passé votre blogueur ?

Après un La La Land des plus  séduisants et un petit passage à vide filmique, j’aurais décidément tout fait pour retrouver l’inspiration comme, par exemple, aller voir :

-      Deux live remakes aussi jolis formellement qu’inutiles cinématographiquement parlant.

-   Deux films totalement calibrés pour les oscars, tellement tire-larmes et académiques  qu’on se demande pourquoi ne pas avoir simplement épluché deux tonnes d’oignons en public pour un résultat final moins coûteux et certainement plus efficace .

-        Un trip égocentrique tour à tour drôle…puis grotesque.

-     Un Marvel mondialement surévalué, ou comment persister à écrire des rôles de méchants plus pathétiques les uns que les autres. Certes, le divertissement est sympa et sans concession mais de là à déclarer qu'il est « Le Dark Knight de Marvel » ? Sérieusement ?

-    Un astucieux thriller en huis-clos. Mais à quoi bon vous rabâcher que Shyamalan est de retour pour vous jouer un mauvais tour (ou un bon twist, en fonction de la suite)?

-      Un anime japonais de très haute facture. Bien que je soupçonne la plupart de mes lecteurs de ne pas accourir en salle pour des « Japonaiseries », visionnez tout de même cette étonnante réalisation de Makoto Shinkai confortablement installés dans votre canapé, une belle claque vous dis-je.

-    Une fable moderne complètement déprimante mais maîtrisée de bout en bout. Du grand Spielberg… oh wait, c’est de Juan Antonio Bayona, on s'y méprendrait !

Seulement voilà, malgré cette succession d’œuvres aux qualités plus ou moins évidentes, je n’étais pas complètement emballé à l’idée de saisir mon clavier pour vous asséner des centaines de caractères afin de vous dissuader d’aller voir un blockbuster déjà multi-millionnaire au moment où les lumières de ma salle se rallumaient...
Ou au contraire de vous persuader de regarder un film plus modeste alors que le prix du ticket a grimpé bien au-delà des 10€ dans nos multiplexes vendeurs de nachos.

C’est néanmoins arborant un optimisme tout neuf que je reviens vers vous, cet article n'étant qu'un prélude racoleur à ma prochaine critique qui paraîtra au plus tard vendredi.


Indice sur le prochain long-métrage qui passera sur le billard :






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